Techniquement, la dernière exécution en pleine pâte est faite au couteau recouvrant en grande partie les dessous à la brosse, toujours dans le respect du gras sur maigre nécessaire dans la technique à l'huile. Le but final est d'obtenir un aspect semi-mat (je ne peins plus brillant). Au fond, ce n'est pas compliqué, juste de la logique et l'avantage de peindre avec des résines naturelles est de pouvoir travailler sans aucun risque dans le frais et le demi frais en évitant les embus pendant plusieurs jours. Après, il faudrait attendre de nombreuses semaines avant de reprendre son travail, mais au couteau mieux vaut travailler d'un seul jet même en plusieurs fois. Et au risque de me répéter, c'est plus pratique en plein air et j'en ai de toute façon une plus grande expérience. Comme d'habitude, j'attendrai quelques mois pour vérifier si des glacis sont nécessaires pour harmoniser des tons après séchage.
Voici bien la preuve que j’exécute beaucoup de toiles de paysages en extérieur, le plus grand plaisir d’un impressionniste !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire