Vous aimez la peinture artistique, vous aimez aussi l'Impressionnisme !
Faut-il continuer à peindre de la même manière de nos jours ? Personne ne peut l'interdire, pourtant, il est possible d'évoluer, car depuis cette époque trop de nouveaux courants artistiques, ou pas, se sont littéralement engouffrés dans cette brèche ouverte face à l'emprise académique.
Il est certain que tout s'essouffle dans l'art, et même l'art contemporain bat de l'aile, il semblerait qu'un retour vers plus d'émotion, plus de sincérité, commence à émerger, lentement !
Ce préambule, historiquement bien réel, me permet de vous expliquer mon principe applicable à notre époque : Rester dans la tendance Impressionniste pour peindre, en essayant d'aller un peu plus loin, en toute modestie !
Donc, je vais exposer mon idée, qui n'est pas une méthode, ce qui n'aurait aucun sens, mais plus simplement une évolution logique : le Perceptionnisme !
Au départ le perceptionnisme ne s'exprime que par une attitude philosophique dont il faut extraire ce qui s'applique essentiellement à la peinture artistique, sinon on peut se perdre dans l'inutile :
"On peut simplement dire que le perceptionnisme est une idée d'après laquelle l'esprit, dans l'acte de percevoir, a une conscience immédiate et par conséquent véridique de la présence d'une réalité extérieure à lui. "
Concrètement, ceci est exactement l'émotion d'un peintre derrière son chevalet devant son sujet, une attitude humble, éloignée des calculs obscurs contemporains, et son rôle est d'établir, par son travail, la connivence possible entre lui et les spectateurs de son tableau (fini ou en cours d'exécution), et là, ça devient plus compliqué.
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